Françoise-Park (One.Part)

Françoise-Park

Chapitre 1 (première recherche)

C'était il y a quelques jours à Central Park. Il était 21 h 48 précise. Il faisait très noir, c'était une nuit avec un ciel sans étoile et la lune était pleine, ma fille et moi avions décidé de camper au centre du parc, à l'abri des

regards, entre deux grands chênes et derrière de grands rosiers rouges.

Nous avions une magnifique tente blanche. Blanche comme la lune !

Ah oui, il faut que je vous décrive ma fille et moi-même.

Donc moi, j'ai 43 ans et je m'appelle Alexandra-Marie Gruydein. Ma fille disparue s'appelle Françoise, elle est âgée de 15 ans, elle a les cheveux blonds comme le blé et les yeux bleus comme la mer. Elle est mince et grande. Elle a un petit nez et de belles lèvres. Bon, je continue mon histoire. Je disais, dans la tente, il y avait de quoi dormir et manger, ainsi qu'une guirlande et pas grand-chose d'autre.

« Et voilà Adam, cette interview au bureau de police a terminé comme ça » dit Alexandra

« Et ensuite » demanda Adam d'un air inquiet.

Et Alexandra lui répondit « je me suis réveillée et tout était saccagé il y avait des griffes partout et il n'y avait plus personne. J'étais seule, il faisait froid et j'avais peur alors, je suis allée me confier à la seule personne qui me comprendrait et cette personne c'est toi Adam !

Alors Alexandra et Adam se mirent à la recherche de Françoise, ils commencèrent par le parc, ça leur pris des heures, ils cherchèrent dans tous les moindres recoins.

Le soir tombé, ils restèrent et observèrent attentivement, ensuite, ils entendirent un bruit comme un grognement, une bête sortait d'un buisson, on ne la distinguait pas vraiment, mais elle avait des cornes et un air féroce. La bête rentra dans la tente, elle avait l'air de porter quelque chose et elle faisait des bruits immondes.

En entrant dans la tente, une de ses cornes déchira un morceau de tissu, ensuite la bête hurla comme un louveteau et plus rien. Alors, Alexandra et Adam voulurent vérifier ce qu'il s'y passait, mais en rentrant dans la tente la bête n'était plus là !

Tous deux étaient sous le choque, la tente était intacte sauf la déchirure.

Le lendemain matin, Alexandra se leva très fatiguée, elle n'avait malheureusement pas trouvé le sommeil. Elle n'arrivait pas à oublier ce qui s'était passé le jour avant. Alors, elle alla trouver la police et expliqua tout en détail. Elle essaya de décrire la bête comme elle l'avait vue, mais le policier répondit qu'il n'y croyait pas et qu'il fallait lui remettre les idées en place. Alors, il fit partir Alexandra.

Alexandra se mit en route. Elle arriva devant sa maison, Celle-ci était une maison mitoyenne typique new-yorkaise avec des briques rouges et des fleurs.

En entrant, elle se mit à faire des recherches sur internet de cet animal, mais elle ne trouva rien, ensuite, elle entendit un bruit, elle retira son casque et chercha dans sa maison, elle l'entendit à nouveau, comme une personne qui mange. Elle alla donc dans la cuisine. Le frigo était ouvert, elle avait un peu peur alors, elle alla chercher la batte de baseball de son grand-père pour se défendre et en retournant dans la cuisine, elle trouva des plumes par terre.

La bestiole faisait des gloussements, Alexandra pensa d'abord que c'était un rat, mais en ouvrant son frigo, elle découvrit un gobelin à plumes blanches attendrissant, il avait même des ailes d'ange, mais petit a petit la créature changea de couleur et tira ver le vert. Des plantes poussèrent sur tout son corps, la bête petit a petit se transforma en plante ,une plante assez étrange.

D'un coup le monde autour d'Alexandra disparu pour laisser place à une vue magnifique.

Elle était sur le sommet d'une colline et la vue était superbe, il y avait une cascades, des rivières, un lac a perte de vue, de grands arbres, des oiseaux qui avait l'air magique et plein d'autres choses c'était magnifique quand soudain un animal se pausa devant elle, cette animale ressemblait à un cheval, un cheval volant blanc et noir, Alexandra se mis sûr sont dot et op le chevale se mit a volé, il passa au-dessus d'arbre et de plain d'animaux magique. Le chevale l'emmena devant une magnifique ville surchargée de magie, la ville était entourée d'un grand mure et au milieu du lac de la ville était installés un château, Alexandra se croyait dans un conte de fée.

Et une voix l'appela et dit « Alexandra, réveille-toi, Alexandra ! » et ce qu'elle voyait s'effaça et l'a l'essai dans un noir assourdissant, elle ouvra doucement les yeux, elle fut éblouie par la lumière et en face d'elle était assis Adam. Alexandra se trouva dans sa cuisine coucher sur le sol, le frigo était toujours ouvert et un sont très aigus s'entendaient. Alexandra n'en croyait pas, c'est yeux. Alors, elle avait rêvé, pourtant ce monde étaient si réels et ce gobelin ! Adam dit « Tout vas bien ? Tu as besoin d'aide ? » Alexandra, un peu abasourdi, répondit « Non, ne t'inquiète pas ! ». Ensuite Alexandra se leva, elle regarda autour d'elle et elle remarqua la bâte qui mais elle n'ausa pas raconter l'histoire à Adam. Sa journée continua alors ! Elle alla à son travaille, elle étudiait l'écriture et la littérature. Sa journée se passa comme d'habitude. Au soir, elle rentra chez elle. Elle ouvra sa boite aux lettres et y trouva une enveloppe bleue, elle ouvrit l'enveloppe, il y avait un papier où était écrit à la main un petit mot « une fête à la boum à 21h » Ça lui changerait bien les idées. Elle arriva à la boume à pied. Le bâtiment ou se déroulait cette fête, étaient un grand immeuble gris, on ne distinguait pas le reste, car il fessait presque nuit. Mais la mère distingua la porte à peine éclairée. Elle y rentra, on y entendais peux de musique. En entrant sur sa gauche se trouvait un vieil escalier se dirigent vers le bas, elle l'emprunta. En bas, il y avait beaucoup de musique et de la lumière de toutes les couleurs. Elle entra dans la pièce qu'i l'ébloui aussi tôt, mais quand elle ouvrit les yeux il y avait un tap de personnes, qui dansait, chantait. Elle distingua au loin Adam, et Alexandra essaya au plus vite de le rejoindre, en asseyent également de bousculer le moins de personne.